Dynamiser la vie d’un quartier : le tiers-lieu éphémère de Belle Beille
La Cambuse, une guinguette des bords de Sèvre impulsée par les habitants
Dans la métropole nantaise, un atlas de la biodiversité pour mieux protéger
A Nantes, l’association Patrons Solidaires se mobilise pour les droits des travailleurs sans-papiers
Les filets de pêche représentent près de 10% de la pollution plastique retrouvée au fond des océans
soit 800 tonnes par an pour la France.
5e édition du festival Variations sur l’Ile d’Yeu.
En Mayenne, Ronan Héon remet le sarrasin à l’honneur
Un lieu consacré aux arts contemporains dans la vallée du Loir
Désertification médicale : la Maison de Santé du Grand Bellevue comme rempart
A Machecoul, une ancienne distillerie convertie en tiers-lieu
Adapter et créer des objets pour les personnes en situation de handicap : le Humanlab à Nantes
5/15 - Prévenir les crues des rivières de l’Authion et de ses affluents / Itw d’Olivier Payrastre
Reconditionner et accompagner : l’association Alis 44 oeuvre pour un numérique durable et social
Anticiper le changement climatique en Vendée / Itw de Gérald Thouand
Le Syndicat Mixte Vendée Sèvre Autizes (SmVSA) intervient sur un périmètre de 64 communes et couvre 90% du bassin de la rivière Vendée. Ses principales missions concernent la gestion des risques maritimes, la qualité de l’eau, l’entretien du marais poitevin et des ouvrages. Le Syndicat mène actuellement des études pour évaluer l’évolution des milieux avec le changement climatique.
Bastien Mathieu, de Graffiti, s’est rendu dans les locaux du SmVSA, à Fontenay le Comte, pour rencontrer son président Arnaud Charpentier et son directeur Fabrice Suire.
Ce reportage est accompagné d’une interview de Gérald Thouand, professeur à Nantes Université et chercheur au laboratoire UMR CNRS 6144 GEPEA, qui a développé l'utilisation de biocapteurs capables de détecter la toxicité de l’eau en continu. Il nous explique comment ces outils fonctionnent et comment ils sont déjà expérimentés en Vendée.
« L’eau : un enjeu de société » est un projet de la FRAP en partenariat avec Terre des Sciences, lauréat de l’appel à projets « Sciences & Société » de la région Pays de la Loire.
Seuls 11% des cours d’eau en Pays de la Loire sont en bon état écologique. Les expert·e·s estiment qu’à l’horizon 2050, le débit des cours d’eau pourrait diminuer de 30% sur notre territoire.
Pour contribuer à la compréhension de ces enjeux par le grand public, la FRAP propose une série de podcasts réalisés par 15 radios : quinze reportages de terrain chacun complétés d’une interview de scientifique, et cinq émissions spéciales.
Réouverture du Belvédère dans les règles de l’art culinaire : une expérimentation territoires zéro chômeurs
Rentrée étudiante: dynamiser un quartier contre un loyer modéré.
"3 chambres, une salle de bain, 90m2, pour 195 euros de loyer. Appartement recherche colocataires pour
partager des moments de vie et mener des actions solidaires."
C’est à peu près l’offre proposée par l’AFEV, l’association de la fondation étudiante pour la ville, qui
dirige le projet Kaps. Les kapseurs sont des jeunes de moins de 30 ans qui, en échange d’un loyer faible,
dynamisent leur quartier en y organisant des événements culturels. Une initiative qui permet de recréer du
lien entre les habitants de quartiers défavorisés/prioritaires.
Dans ce reportage Adriana Dagba a suivi Lucas et Mathis, deux kapseurs de Nantes.
Se réapproprier le numérique avec la tête et les mains : l’association PING à Nantes