Biltoki ça vous dit quelques chose ? On va en parler aujourd'hui
Sans doute connaissez-vous ces légendes qui courent sur certains lieux en France.
Des bâtisses qui habiteraient entre leurs murs des âmes errantes n’ayant pas réussi à trouver le repos.
Hier, quelques angevins ont eu peur.
Sous les coups de 11h vers Montplaisir, certains sortaient pour aller au travail, d’autres en cours, mais la vision d’horreur était la même pour tout le monde.
Le tramway qu’ils devaient prendre est à l’arrêt, des pompiers autour de ce dernier et enfin : un brancard.
Une scène macabre, mais les soldats du feu ont directement tenu à rassurer tout le monde, il s’agissait en réalité d’un exercice, comme Solène vous l’a bien expliquée hier.
Une manœuvre peu courante, qui intervient 5 mois après le lancement de la ligne B du tramway angevin, qui était ici concerné.
Vous connaissez peut-être ce mythe qui dit que les ponts de cé aurait dû s’appeler les ponts de César ?
« Qu’il aurait décidé de construire un pont en son nom, proche d’Angers mais que malheureusement, il n’aurait pas eu le temps de finir, et s’arrêta à Cé ».
Bien évidemment il s’agit d’une légende.
Bon nombre d’historiens se disent détenteur de la vérité.
Il s’agirait en réalité d’un terme d’origine gauloise, l'élément Cé représentant le nom primitif du village voisin
Mais rien n’est prouvé, et l’histoire perdure.
Alors vous l’avez compris, aujourd’hui nous nous rendons au Pont de Cé, ville ou mythe et légende cohabitent.
Vous vous retrouvez souvent avec de petites piqures rouges et rectilignes le matin ?
Et bien des punaises de lit ont sans doute infesté votre logement.
Un problème quotidien donc, et la solution est locale.
C’est un angevin qui l’a trouvée.
Vous le savez la ville d’Angers bouge, elle bouge beaucoup même.
Se trouvant régulièrement dans les bons coups lorsqu’il s’agit de sujet solidaire.
Le nombre d’évènement, en soutien avec des causes fortes, augmente d’année en année, et 2023 ne fait pas figure d’exception.
La ville est connue pour venir en aide à ses étudiants via des évènements solidaires, le campus day en tête de liste, mais pas seulement.
Les catastrophes humanitaires sont également au centre des préoccupations de la ville.
Comme vous le savez, dans topette, nous n’avons aucun sujet tabou.
Et aujourd’hui, on parle justement d’un sujet qui l’est malheureusement et que l’université d’Angers cherche a brisé.
On vous parle des congés menstruels.